Il existe de nombreuses stratégies pour écrire du contenu inclusif. Dans un même texte, il est d’ailleurs préférable de varier les techniques.

Pour m’y retrouver, j’avais donc besoin de me faire un petit aide-mémoire, que je vous partage ici.

Voici dans l’ordre, les techniques d’écriture inclusive que je privilégie :

  1. Les mots épicènes : « les personnes » (que j’aime beaucoup, car on peut ensuite accorder au féminin 😇) ;
  2. Les formules englobantes : « les responsables des achats » plutôt que « les acheteurs et les acheteuses » ;
  3. L’écriture détaillée ou décomposée : « les développeuses et développeurs » ;
  4. Les abréviations inclusives, avec le point médian pour les mots qui se prononcent à l’identique, comme « ami·e·s » (mais pas pour « les utilisateur·rices ») ;
  5. Le genre neutre : « iel » pour « il ou elle » ou « celleux » pour « celles et ceux » que j’utilise dans mes écrits personnels, mais pas encore dans des interfaces (mais ça arrive timidement, par exemple chez Twitter… ).

Et quand j’ai besoin d’aller plus loin, je me réfère à ma ressource préférée à ce jour : Écriture inclusive et accessibilité numérique de Julie Moynat.

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